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8 septembre 2016 4 08 /09 /septembre /2016 08:57
Se déconnecter, pendant l'entraînement, une nécessité !

De plus en plus de recherches de par le monde sont réalisées sur les effets d'une exposition et exploitation excessives avec les outils numériques (smartphone, tablette, etc...).

Parmi les effets négatifs sont pointés :

- Augmentation du mauvais stress, dans le monde du travail, ce serait une des causes du nombre grandissant de "burn-out".

- Diminution drastique des capacités attentionnelles, quelques chiffres récents :

En 2004, en moyenne une personne pouvait rester concentrée sur une tâche pendant 3mn sans "décrocher".

En 2012 le temps de concentration sur une même tâche a chuté à 1mn15 (en moyenne)

En 2015 il serait de 45 secondes !

Les jeunes de moins de vingt cinq ans qui sont nés avec tous ces outils numériques sont les plus touchés à ce niveau. C'est dans cette catégorie de la population que nous trouvons les performances de concentration les plus faibles !

Pour en savoir plus, aller regarder cette émission projetée sur ARTE le 03/09/2016 :

Ce reportage diffusé sur ARTE le samedi 3 septembre 2016 présente le résultat d’un grand nombre de recherches scientifiques menées en France et dans la Monde, qui étudie les effets sur-stressants des NTIC sur notre cerveau, avec les conséquences sur l’attention-concentration et la mémorisation..

pour voir le reportage:

https://www.youtube.com/watch?v=dcoD9w5gr9k

Une pratique sportive régulière favorise le développement de l'attention-concentration. Cela se comprend aisément. Nous ne pouvons pas faire bien deux choses en même temps, si en même temps que la pratique sportive nous portons notre attention sur le smartphone, nous ne sommes plus présents à l'activité. Nous sommes distraits avec les risques de chute ou d'accidents et une perte des performances.

Quelques règles de bon sens pour améliorer notre capacité attentionnelle et ne pas se laisser distraire par le smartphone pendant les séances d'entraînement :

- Couper le portable pendant l'entraînement ou mieux le laisser au vestiaire !

- Apprendre à fixer son attention sur une intention pendant des temps de plus en plus long, par exemple : sur la respiration, sur les sensations corporelles, sur un point fixe etc...Cette intention doit être formulée explicitement par l'athlète ou l'entraîneur.

- Poser des temps de non communication, en courant par exemple les uns derrières les autres sans se parler pendant un temps déterminé.

- Si le smartphone sert de GPS pendant l'entraînement. Il s'agit de ne l'utiliser que pour cette fonction à ce moment là.

- En dehors des temps d'entraînement, apprendre à ne pas être en permanence connecté...couper le smartphone ou ne pas regarder les messages pendant un temps déterminé.

- Pratiquer quotidiennement et plusieurs fois par jour des temps (même courts) de pleine conscience : yoga, sophrologie, gestion mentale, visualisation, méditation etc....

- Apprendre à ne faire qu'une seule chose à la fois.

Les capacités d'attention-concentration (le Focus) sont déterminantes dans la réalisation d'une performance optimale.

Raymond Barbry le 08/09/2016

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25 juin 2016 6 25 /06 /juin /2016 10:41
Aller au bout de l'effort, relâché et concentré.

Ces deux photos explicitent bien les effets d'une pratique de pleine conscience dans une activité de demi-fond en athlétisme.

Nous sommes dans les derniers mètres d'un 1000m, l'athlète qui est est en tête à intégrer depuis dix mois dans les temps d'entraînement des exercices de pleine conscience que nous avons adapté spécifiquement à la course de demi-fond (exercices respiratoires, breathplay etc...).

Dans la photo du dessus, nous observons que l'athlète reste relâchée et concentrée dans les derniers mètres d'une épreuve qui sollicite l'organisme à de très haute intensité. La deuxième photo, celle de dessous, montre combien l'effort a été intense,

Aller au bout de l'effort, relâché et concentré.
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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 13:23
Des "médias" qui découvrent et qui s'étonnent !

Intéressant d'aller lire ce que nous disent les médias les plus lus, écoutés et regardés..Ils découvrent ce que nous savons depuis des décennies, voire des siècles. Il n'y a rien de surprenant sur les capacités psychiques et physiques des moines. Nous avons des capacités extraordinaires, mais notre contexte éducatif, nos croyances, nos peurs, nos idéologies bloquent notre développement, nos capacités et nos potentialités.

w.pause-sport.com/decouverte-ces-moines-aux-capacites-surhumaines/

Il y a huit ans à l'issue de Paris-Brest-Paris 2007, un journaliste local m'avait questionné à ce sujet (l'observateur arrageois). il voulait que je dise que réaliser une épreuve de très longue distance était exceptionnelle et que peu de personnes étaient capables de réaliser ce type de performance. Nous avions alors eu une discussion intéressante, voire passionnante à ce sujet. Je me souviens lui avoir dit qu'une multitude de cyclistes pouvaient réaliser cette performance, qu'elle n'avait rien d'exceptionnelle (1250kms en moins de 50h00 non stop), à condition d'en faire le projet, de s'y engager pleinement et surtout de ne pas se fixer d'objectifs de performance, mais de construire l'épreuve kilomètre par kilomètre et de rester dans le présent du kilomètre parcouru, c'est à dire être en état de pleine présence (pleine attention, pleine conscience) tout au long de l'épreuve.

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 12:41
Intégrer la méditation de pleine conscience dans le temps d'entraînement

De plus en plus de sportifs intègrent les temps de méditation de pleine conscience dans leur préparation..quand les conditions le permettent, ils peuvent même être intégrés dans le temps de la séance d'entraînement, la preuve en image en athlétisme.

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 16:54
Les secrets de la préparation mentale des athlètes

Voir cet article dans le huffingtonpost. Qui vient en appui de ce que nous proposons depuis cinq ans en matière de préparation mentale et que nous avons mis en œuvre dans le cadre de notre pratique de cyclisme de longue distance (Raid Provence 2006-2008 / Paris Brest Paris 2007 / Raid Vosgien 2008 / 1500km en moins de trois jours 2009.

Quelques idées clefs de l'article :

Bruce Jenner, décathlonien plusieurs fois médaillé, a déclaré: "Le tout est d'entraîner son esprit comme on entraîne son corps." Il fait écho à une maxime presque devenue cliché: les sports résident à 90% dans le mental et à 10% dans le physique.

"L'aspect mental doit prendre le relais, surtout lorsqu'il s'agit d'être le meilleur parmi les meilleurs. Aux Jeux olympiques, tout le monde est talentueux. Tout le monde s'entraîne dur. Tout le monde travaille. Ce qui fait la différence entre un médaillé d'or et un médaillé d'argent, c'est simplement l'aspect mental.”

Voici cinq astuces d'athlètes olympiques qui peuvent vous aider à améliorer vos performances dans tous les aspects de la vie.

- Visualiser les résultats que vous visez.

- Méditer tous les jours.

- Expulser le colocataire envahissant qui habite dans votre tête.

- Se fixer des objectifs plus intelligents.

- Suivre le "flux"

Pour lire la totalité de l'article aller sur le lien suivant

http://www.huffingtonpost.fr/2014/02/15/les-secrets-de-preparation-mentale-des-athletes_n_4787025.html

Publié par Raymond Barbry, le 28 mars 2016.

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 16:11
Apprendre à écouter son corps, c'est fondamental

Voici une liste de principes que nous intégrons à l'entraînement de jeunes athlètes (16 à 20 ans) pour leur faire apprendre à écouter leur corps.

Nous pouvons élaborer des plans d'entraînement les plus pertinents, ils ne serviront pas à grand chose, et auront peu d'effets si les athlètes n'apprennent pas en même temps à en percevoir les effets sur leur corps (corps = physique et psychique).

Voici quelques principes qu'il est bon de rappeler :

1. Ne pas s'entraîner quand on est malade..ou alors que du cool et encore !
2. Ne charger pas sur de la fatigue déjà là....sauf dans certaines circonstances exceptionnelles.
3. Ne pas s'entraîner pas sur une blessure..sinon risque de sur-blessure.
4. Dormir au moins 8h00/nuit.
5. Supprimer ou éteindre le téléphone portable dans la chambre..on ne répond pas à des messages en pleine nuit !
6. S'interdire les jeux sur console ou ordinateur dans les 30mn qui précèdent l'endormissement.
7. Boire 1,5 litre d'eau en dehors des repas.
8. Repérer la douleur normale qui n'empêche pas l'entraînement et la douleur qui est l'indice d'une fatigue qui s'installe ou d'un début de blessure.
9. Respecter les intensités à l'entraînement. Il y a un sens à ce qui est proposé !
10. Supprimer ou réduire au strict minimum toutes les boissons très sucrées qui empoisonnent votre corps (coca etc....).
11. Arrêter de vous prendre la tête avec" base athlé"..les chronos à venir....N'oubliez pas step by step / entraînement par entraînement / compétition par compétition / jour par jour.
12. Ne pas s'entraîner assez ne permet pas de donner le meilleur de soi mais n'oubliez pas que trop s'entraîner nuit à la performance dans le long terme !

Et surtout prendre du plaisir et de la joie dans ce que vous faites.

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17 mars 2016 4 17 /03 /mars /2016 07:20
L'attention à la base de la réussite

L'image de l'iceberg est un classique de la métaphore de la réussite ou du sucés. ce qui est nouveau et qui apparaît à notre époque et le Focus ou l'attention-concentration. Il est présenté dans ce document en langue anglaise comme le plus profond et le plus fondamental. Si le focus (attention-concentration) n'est pas développé, l'exploitation des potentialités ne sera pas optimale. La performance ne sera pas à la hauteur de ce qu'elle aurait du être. Une seconde d'inattention est tout peut s'effondrer en un instant, le but encaissé, la chute, la roue que l'on ne peut suivre, la balle dans le filet etc...

Les autres facteurs sont bien connus depuis longtemps et participent à ces fondamentaux de la réussite :

- La discipline et la rigueur à s'imposer et à accepter.

- La prise de risque.

- Les sacrifices.

- Les moments de déception, de découragement qu'il importe d'accepter et de dépasser.

- L'acceptation des entraînements difficiles,

- La persistance, la volonté,

- Les blessures et incidents qui perturbent la préparation et qu'il est nécessaire de prendre en compte. Ils participent de la connaissance de soi, de son corps et portent un sens que le sportif se doit de comprendre.

Il est d'autant plus nécessaire et indispensable de développer et entretenir cette attention-concentration, que le contexte sociétal contemporain en permet moins son apprentissage et son développement. Nous apprenons le zapping attentionnel qui réduit notre aptitude à rester en focus sur une situation.

Dans le cadre de l'entraînement de plus en plus de sportifs intègrent cet aspect via spécifiquement la préparation mentale, mais aussi dans certaines situations d'entraînement où l'entraîneur va donner une intention pour guider l'attention-concentration, par exemple quelques situations à proposer en fonction des activités :

- La respiration et plus particulièrement l'expiration (cf breathplay),

- Des moments de silence dans l'entraînement..on ne parle, on n'échange pas pendant un temps donné (courir l'un derrière l'autre et non côte à côte)..

- La sensation kinesthésique de glisse (sur l'eau en natation),

- La sensation de l'air (course à pieds, vélo...),

- La sensation de la neige sur le ski,

- Plus toutes les situations non routinières demandant une attention à la coordination motrice.

- Pour tous..ne pas utiliser le téléphone portable, voire ne pas l'avoir sur soi, durant le temps d'entraînement.

La pratique sportive participe en elle même à développer cette attention-concentration. Une recherche publiée récemment par le CHU de Lille montre que les enfants et les jeunes qui pratiquent une activité physique régulière ont une meilleure capacité attentionnelle sur des tâches routinières et scolaires que ceux qui ne pratiquent pas. Des recherches faites à l'étranger ans le contexte professionnel adulte vont dans le même sens (cf le dernier numéro de cerveau et psycho ou les travaux du réseau de chercheurs "mind and life").

Raymond Barbry le 17 mars 2016

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14 mars 2016 1 14 /03 /mars /2016 10:26
Relâchement et entraînement en qualité pour réussir en trail

Les épreuves de trail sont longues avec des dénivelés conséquents, de ce fait nombre d'athlètes s'entraînent en faisant de longes sorties sur des parcours difficiles. Mais est-ce que cette approche de la préparation est pertinente ? Est-ce qu'une approche plus qualitative ne serait pas plus efficiente ?

Dans le cadre de la préparation de sportifs faisant des épreuves de longues distances ou d'ultra, nous préconisons un travail de qualité plutôt que de quantité, associé à une approche constante sur le relâchement et la pleine présence à l'effort (cf l'expérience personnel dans le cadre du Paris-Brest-Paris 2007).

Nous venons d'avoir confirmation de la pertinence de cette approche avec un athlète que nous suivons depuis quatre mois, Benjamin Delattre, athlète espoir de 20 ans du RCArras d’athlétisme.

Benjamin vient de gagner l'épreuve du 28kms sur le trail des poilus (Nord-Pas-De-Calais-Picardie) alors que depuis quatre mois, il n'a pas fait une seule longue sortie. Il a rejoint en septembre le groupe de coureurs de demi-fond du RCArras d’athlétisme (coureurs du 800 au 5000) avec lesquels il a préparé la saison de cross country et quelques courses sur route. Pendant les quatre mois il a multiplié les séances au seuil et de VMA tout en maintenant des séances de course lente, de natation et de vélo en endurance fondamentale. Il a ainsi gagné en vitesse de base spécifique course à pied. C'est ce qui lui a permis de descendre son record sur 10km route de plusieurs minutes, de terminer dans un cross de 8 kms à moins de trente secondes d'un des meilleurs espoirs de la région en cross et sur 5000.

Conjointement à l'aspect physique de la préparation, le travail mental dans le temps d'entraînement a été constant par une attention soutenue portée à la prise de conscience respiratoire (cf Breathplay) et au relâchement dans le temps d'effort. Le suivi régulier avec un ostéopathe a favorisé la cohérence de cette approche.

Que l'expérience de cet athlète puisse servir au plus grand nombre de trailers et à ceux qui n'osent s'y aventurer par manque de temps d'entraînement.

Raymond Barbry.

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25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 21:28
Laisser faire le temps, une priorité même dans le sport de haut niveau..

Il n'est nul besoin d'être plus motivé que les autres, de s'entraîner plus que les autres, d'en faire encore plus et de communiquer sur les médias plus que les autres. Nous avons à nous méfier de ceux qui nous disent, qu'il nous faut en faire encore plus, toujours plus.

Méfions nous de tous les mots à la mode succès, motivation, volonté, objectifs, médailles et performances. N'oublions pas que nous sommes ce que nous sommes, jusqu'à ce que nous décidons de changer, d'évoluer. Il faut en avoir envie. Nous n'avons pas à nous forcer, nous agissons quand c'est le bon moment pour nous. C'est tellement simple et évident que nous l'oublions.

La priorité, apprendre ou réapprendre à faire à notre rythme.

L'être humain n'est pas un robot. La motivation est quelque chose de complexe et il arrive que nous traversons des périodes compliquées. Que la vie ne se déroule pas comme nous le voulons.

Tout ne se contrôle pas, heureusement. Nous pouvons nous entraîner deux fois par jour, voire trois fois jusqu'à l'épuisement mais si ce n'est pas le bon moment, si ce n'est pas mûre, il ne se passera rien ; Il n'y a rien à faire. On peut y aller chaque jour avec les meilleures intentions du monde, si ce n'est pas le moment, CE N'EST PAS LE MOMENT! Il faut savoir s'accorder le droit d'être humain et accepter les aléas, les blessures, les doutes. Ce sont des temps nécessaires qui précédent le plus souvent le passage d'un niveau de performance, Nous avons chacun notre propre rythme. Certains vont performer très tôt, pour d'autres ce sera au bout de longues années d'entraînement. Il n' y a pas de règles immuables en ce domaine.

Des exemples pris dans d'autres champs de la vie peuvent éclairer le sportif.

Un roman ne s'écrit pas sur commande, soit parce que les personnages ne sont clairement définis, soit qu'il est nécessaire de prendre en maturité pendant plusieurs années pour réaliser un chef-d'œuvre vrai et authentique. Il en est de même dans nos vies sentimentales. Il est souvent nécessaire d'être seul(e) par besoin de connaissance de soi. La solitude est un passage incontournable avant la rencontre.

Nous savons bien que, la plupart du temps, nous ne sommes pas maître de ce qui nous arrive. Cependant cette réalité de la vie est trop rarement prise en compte dans nos engagements. Nous dépensons le plus souvent une énergie psychique démentielle pour contrôler notre vie, pour vouloir arriver trop vite au sucés ou prendre des raccourcis sur son chemin. Nous nous laissons polluer par les autres qui déclarent y être arrivé par telle voie,et que celle ci peut aussi être la nôtre. Nous pensons que la vie est un processus linéaire sans rupture comme si nous allions maîtriser toutes les incertitudes.

Ce n'est pas comme cela que ça marche. Il est impossible de tout contrôler et éviter l'aléatoire, l'incertitude, l'imprévisible, qui nous dépassent. Nous avons à accepter ce qui est, ne pas lutter contre.

Reconnaître et saisir le moment juste.

Alors que tout paraît triste, sombre que nous sommes perdus, que rien ne va comme on le voudrait, sans trop savoir pourquoi tout s'améliore. Notre difficulté vient que nous avons la conviction que la vie devrait être autre. Nous sommes éduqués, formatés à la maîtrise des choses de la vie. Cet état d'esprit nous mène à avoir une piètre opinion de nous mêmes. Nous pensons que nous pouvons changer notre vie sur commande, que la progression va être linéaire, que nous serons logiquement plus fort, plus performant, plus beau, plus heureux, plus riche etc...Nous avons à apprendre à faire ce que l'on peut et accepter de laisser advenir ce qui doit advenir.

La surmotivation n'est pas souhaitable pour vivre pleinement ce que l'on souhaite. Il importe d'arrêter d'écouter des personnes qui sont à une toute autre étape de leur vie et de leur carrière, et qui répètent que nous n'en faisons pas assez, que nous devrions faire ceci ou cela. Nous avons à laisser les choses advenir au moment où elles le doivent. Faire des échecs des leçons de vie. Comprendre que ce qui nous arrive, là, tout de suite, nous servira un jour. Que c'est ainsi que va se définir notre identité profonde (le Soi).

Il y a des événements et des choses qui nous dépassent et que nous ne pouvons pas contrôler. Ce n'est pas en suivant aveuglément et sans réflexion une procédure définie par avance ou en suivant le plan d'entraînement d'un tel ou d'un tel que nous réussirons. Laisser exister, être dans l'intention et y croire, vivre l'instant, prendre un peu de recul, arrêter de se culpabiliser, et laisser faire le mouvement de la vie avancer à son rythme, voilà des principes fondamentaux de développement qui donnent du sens à nos engagements, à nos choix et à notre carrière.

Raymond Barbry

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13 février 2016 6 13 /02 /février /2016 20:47

Une vidéo qui vaut tous les écrits et commentaires.

https://www.facebook.com/BispoDarlan/videos/984982971553074/?pnref=story

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Présentation

  • : Le blog de sport en pleine conscience - Raymond Barbry
  • : L'objet de ce blog est de promouvoir l'exploitation de la pleine conscience (mindfulness) dans la pratique sportive. Ceci afin de permettre aux pratiquants sportifs d'exploiter au mieux leurs ressources dans le respect du développement humain.
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Profil

  • Raymond Barbry
  • J'interviens dans l'accompagnement (coaching) des sportifs de tous les niveaux. Je propose une approche de la préparation mentale qui prend appui sur les outils de la pleine conscience et sur mon expérience personnelle de sportif de haut niveau.
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